Le web 2.0 en général, et les réseaux sociaux en particulier on apporté une richesse aux rapports humains : l’horizontalité.
Ainsi, tout a chacun peut envoyer un twitt en direction de NKM ou Patrick Sébastien, écrire sur le wall facebook de Lorie, et espérer être lu, sans forcément attendre de réponse, simplement être entendu. Ça, c’est la théorie des early adopter.
Le community management, c’est faire de cette prise de contact un métier. Le community manager, c’est finalement la personne qui va ouvrir les courriers de fans reçus par la poste. Il va ensuite en déduire une campagne de communication en rapport avec les demandes de la majorité, pour espérer étendre le public touché, et justifier l’existence de son poste par du ROI. Pas très 2.0 tout ça.
Le Community Management, c’est passer de la proximité possible via les réseaux sociaux au prosélytisme markété.
Et puis avouons le, qui sont ces gens qui se décrètent “Manager” d’un groupe d’individus intéressés de près ou de loin à un sujet, une personne ou une entreprise ? Avons nous envie d’être managés ? Domptés ? Dirigés ?
Si il faut élaborer une stratégie de communication sur les réseaux sociaux, reprenons les choses depuis le début.
Les réseaux sociaux sont composés d’une somme d’individus. Certes, ces individus peuvent faire partie d’une association, d’une entreprise, mais l’identité du compte est bel et bien l’individu.
Originally posted 2021-09-24 22:12:33.